Ce matin, il fait froid au Gandilhon. Vers 8h, le thermomètre afiche 6°C à 1200m. Seb et moi ne sommes vraiment pas pressés de nous lancer aujourd'hui, surtout sachant que l'on attaque directement avec les choses sérieuses.
Nous partons finalement vers 10h30....nous saluons Bruno et Valérie et nous élançons vers le Puy Mary.
Il fait 13°C, le vent du Nord souffle et nous transperce.
Un kilomètre pour se mettre en jambe et monter tranquillement, ensuite la pente se durçit et les 4 derniers kilomètres se gagnent durement. Plus on s'élève, plus la vue est belle, comme souvent, en montagne.
Mais arrivés au sommet, nous ne trainons guère. Le vent est violent et glacial. Nous entamons la descente prudemment, nos doigts se crispent de froid.
Nous arrivons à Aurillac peu après midi. Il est difficile de trouver une terrasse abrité du vent et ensoleillé où l'on peut manger. Après 2 echecs, nous trouvons notre bonheur dans une petite rue. Nous commandons de l'Aligot, histoire de rester dans le "local".
Nous prenons la D18, jolie route très peu fréquentée et rejoingons le petit village de Laroquebrou où la gourmande démoniaque que je suis pousse Seb à la tentation: une tartelette aux framboises en guise de 4h! Nous passons une demi-douzaine de coups de fil pour trouver un hébérgement pour la nuit. Nous rejoignons enfin Beaulieu sur Dordogne (Corrèze), en un finish laborieux ponctué de bosses et de casse-pattes. Nous nous rendons à évidence: nous ne sommes plus dans le même état de fraicheur que le début du voyage.
Une journée, à combattre de fortes bourrasques et sans pouvoir retirer nos coupe-vents.
Dans le Cantal, le soleil est cassé (il a beau briller, il ne chauffe pas) et la clim toujours à fond (le vent du Nord n'a cessé de souffler).
Nous partons finalement vers 10h30....nous saluons Bruno et Valérie et nous élançons vers le Puy Mary.
Il fait 13°C, le vent du Nord souffle et nous transperce.
Un kilomètre pour se mettre en jambe et monter tranquillement, ensuite la pente se durçit et les 4 derniers kilomètres se gagnent durement. Plus on s'élève, plus la vue est belle, comme souvent, en montagne.
Mais arrivés au sommet, nous ne trainons guère. Le vent est violent et glacial. Nous entamons la descente prudemment, nos doigts se crispent de froid.
Nous arrivons à Aurillac peu après midi. Il est difficile de trouver une terrasse abrité du vent et ensoleillé où l'on peut manger. Après 2 echecs, nous trouvons notre bonheur dans une petite rue. Nous commandons de l'Aligot, histoire de rester dans le "local".
Nous prenons la D18, jolie route très peu fréquentée et rejoingons le petit village de Laroquebrou où la gourmande démoniaque que je suis pousse Seb à la tentation: une tartelette aux framboises en guise de 4h! Nous passons une demi-douzaine de coups de fil pour trouver un hébérgement pour la nuit. Nous rejoignons enfin Beaulieu sur Dordogne (Corrèze), en un finish laborieux ponctué de bosses et de casse-pattes. Nous nous rendons à évidence: nous ne sommes plus dans le même état de fraicheur que le début du voyage.
Une journée, à combattre de fortes bourrasques et sans pouvoir retirer nos coupe-vents.
Dans le Cantal, le soleil est cassé (il a beau briller, il ne chauffe pas) et la clim toujours à fond (le vent du Nord n'a cessé de souffler).
Superbe photos, je vous rejoind............mais pas à vélo j'suis pas fou enfin ça dépend des moments!!!!.... bisous à vous deux et bon courage...chez nous c'est l'automne 11° pluie bisous
RépondreSupprimerje tiens à rassurer tou le monde, même si sur qq photos le ciel est gris, à part hier où nous avons eu bien froid, dans l'ensemble nous avons eu jusqu'ici de la chance.
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